Seigneur, augmente en nous la foi
Nous vivons dans un monde où il n’est pas facile de conserver la foi. L’évangile d’aujourd’hui nous invite à réfléchir, sur ce qu’est la foi et à faire en sorte de la préserver et de la faire
grandir.
Selon Jésus, la foi est une nouvelle manière de comprendre notre existence et notre monde, de vivre mieux les relations humaines, l’amour et le travail, le succès et l’échec, la maladie, la vie et la mort.
La foi c’est la force de Dieu qui nous accompagne et nous donne le courage de faire face à la vie et aux
problèmes qui se présentent. Sans nous soustraire aux intempéries, elle nous aide à passer à travers la tempête. Une belle image de cette foi chrétienne se retrouve dans la scène évangélique où Jésus saisit la main de Pierre qui commence à
s’enfoncer dans les eaux du lac.
La foi est c’est comme une boussole qui nous indique la direction à suivre, c’est une façon de vivre, une
manière de comprendre ce qui se passe et qui nous permet de donner un sens à notre vie. La foi est un don de
Dieu. Mais ce don il faut le protéger, le faire grandir.
C’est ce que nous venons faire chaque
dimanche au contact du Christ et au contact des autres fidèles laïcs de nos communautés de paroisses
La foi ne peut survivre si elle n’est pas alimentée.Nous croyons peut-être que nous n’avons pas beaucoup de foi. Le Christ nous dit : commencez avec ce que vous avez. Ensuite,
organisez vous pour la faire grandir en lien avec l’équipe d’animation pastorale… par la prière, la méditation, le chant, les sacrements, la liturgie, l’engagement dans la paroisse ou dans
des
groupes de bénévoles. Donnez de votre temps et utilisez vos talents pour aider les autres… et vous verrez que votre foi grandira.
Cette foi que nous avons, nous devons aussi la transmettre aux autres, surtout aux enfants, aux petits enfants… Comme toute vie, la foi a besoin de « transmetteurs » de « catéchistes », de « prêtres », de "diacres" de laïcs
engagées pour se perpétuer. Elle a aussi besoin d'un environnement favorable pour se développer. Cet environnement, c'est la famille, c'est aussi la communauté chrétienne.
Le problème de la transmission de la foi aujourd’hui, c'est que cette mémoire collective manque à beaucoup de nos jeunes chrétiens. C’est pourquoi ils sont
ignorants de notre culture religieuse. La mémoire d'un peuple ne peut se transmettre seulement à travers les cours « d’histoire des religions ». Elle doit se présenter à la jeune
génération à travers la vie collective, les rites répétés, les manifestations, les animations, les temps forts de la communauté de foi, la participation des enfants à la célébration de la messe
en lien avec les paroisses.
La foi est un don précieux. Il nous faut la protéger, l’alimenter, la transmettre et faire en sorte qu’elle
influence notre vie de tous les jours. « Seigneur, augmente en nous la foi »
source : @cursillos.ca -
F.Roger
peinture Arcabas - les disciples d'Emmaüs
Prière universelle : 27e Dimanche du Temps Ordinaire
Seigneur, augmente la foi de ton Eglise et de ceux qui la dirigent…
Qu’avec la force de l’amour, elle
déracine le matérialisme, l’intolérance, l’indifférence, l’incrédulité qui dominent nos
sociétés…
Qu’elle invente des voies nouvelles pour faire entendre la Bonne Nouvelle au-delà de ses murs…
Seigneur, nous t’en prions
Seigneur, augmente la foi des chefs d’entreprise, de tous ces serviteurs
anonymes qui ne font que leur devoir en accordant leur confiance à des marginaux, à des jeunes coupés de tout, à d’anciens délinquants, afin de leur permettre de changer l’image qu’ils
donnent, qu’ils ont des autres et d’eux-mêmes, et de pouvoir se réintégrer dans la société
Seigneur, nous t’en prions
Seigneur, augmente la foi de tous ceux qui ne trouvent pas un sens à leur vie et qui,
parfois, sont tentés d’y mettre fin… De ceux qui souffrant d’une pauvreté intellectuelle ou financière sont harcelés par un sentiment d’insignifiance, d’inutilité… De ceux aussi qui, malgré leurs
prières, ne perçoivent que le silence de Dieu…
Seigneur, nous t’en prions
Seigneur, augmente notre foi, dans ceux que nous côtoyons au travail, en famille, à l’église…
mais aussi dans l’étranger, dans les jeunes qui parfois nous indisposent et qui seront demain appelés à être responsables dans la société, dans l’Eglise…
Seigneur, nous t’en prions
Micheline et Guy Tribout
Annonce des Messes du 1er au 6 octobre
Mardi 1er octobre
9h00 Hayange Accueil St Martin
rencontre de l’Equipe d’Animation Pastorale
Mercredi 2 octobre
10h00
Messe chez les anciens au n°4 à Serémange
Samedi 5
octobre
16h00 Mariage d’Arnaud et Delphine SIMONIN + Baptême d’Alice
SIMONIN
18h00 Messe à St Nicolas-en-Forêt
18h00 Messe à Serémange
Familles ROHMER-BERRY-PEIFFERT- FRANTZ-BAUER
19h00
Baptême de Jules CASTAGNET
Dimanche 6
octobre
9h15 Assemblée de prière à Neufchef
9h15 Messe au Konacker
10h30
Messe à Marspich
10h30 Messe à Hayange
Emile MOHR, Mr Et Mme Mario MONTESI et Pierre KEMPF
11h30 Baptêmes de Thibaut DELEAU
Il y a projet de mariage entre
Christophe BIEDA et Aurélie FRIEDMANN le 19 octobre à Marspich
Communauté de paroisses Bienheureux Jean XXIII du Berceau du Fer
Paroisses de Hayange et Serémange :
tel. 03
82 85 55 54 ou 03 55 18 14 82
rm.presbytere@sfr.fr -
presbytere-catholique57@orange.fr
Permanences :
jeudi de 10h à 11h30 à Hayange
samedi à Serémange
de 9h à 11h
http://eglise-de-hayange-57700.blogspot.fr
Tout un programme
Vis le jour d’aujourd’hui, Dieu te le donne,
il est à toi, vis-le en Lui.
Le jour de demain est à Dieu,
il ne
t’appartient pas.
Ne porte pas sur demain, le souci d’aujourd’hui,
demain est à Dieu, remets-le Lui.
Le moment présent est une frêle passerelle ;
si tu le charges de regrets d’hier
et de
l’inquiétude de demain,
la passerelle cède et tu perds pied.
Le passé ? Dieu le pardonne.
L’avenir ? Dieu le donne.
Vis le jour
d’aujourd’hui en communion avec Lui.
prière trouvée sur une petite sœur du Sacré-Cœur
tuée en Algérie le 10 novembre
1995.
Photo de La croix de l’accueil St Martin
accueil inauguré le 28 septembre 2013
Vivre le message de charité évangélique
La parabole lue ce dimanche met en scène deux hommes : l’un est riche, il est vêtu de vêtements de luxe et il fait de somptueux festins ; l’autre est pauvre affamé, couvert de
plaies ; son nom est Lazare.
Le riche mis en scène ne semble même pas s'apercevoir du pauvre homme qui est dehors, couvert de plaies, couché devant son portail.
Il n'est pas accusé de voler Lazare, de ne pas lui payer un juste salaire, de le maltraiter, ou de l’exploiter... simplement, il ne
l'a pas vu! Il a laissé s'établir un abîme profond entre lui et le pauvre Lazare.
La fortune qui souvent rend aveugle sur la
misère des autres, peut aussi rendre aveugle sur notre propre fragilité humaine
Beaucoup de personnes, aveuglés
par leur richesse, nous dit la parabole d’aujourd’hui, vivent dans une sorte d'anesthésie spirituelle. Les valeurs évangéliques sont absentes de leur vie. La richesse et les privilèges ont creusé
un gouffre profond aussi entre eux et Dieu, et les rends sourds au message de la foi...
Lazare n’existe pas pour le riche. Mais pour Dieu, il existe puisqu’il a un nom : Lazare, « Dieu aide ». Le
riche ne sort pas de chez lui, Dieu si. Et il vient en personne, compagnon d’infortune pour tous les Lazare de la terre mais aussi serviteur et sauveur.
Et, il n’est pas nécessaire d’aller dans les
pays du Tiers-Monde pour trouver des gens dans le besoin. Il existe autour de nous des familles pauvres, des malades, des personnes âgées qui souffrent de solitude, des gens sans emploi, des
alcooliques, des jeunes désorientés, des familles monoparentales qui ont besoin d’un coup de main.
Mais nos péchés, notre incapacité de voir la réalité et nos refus de venir en aide sont autant d'obstacles à
franchir pour ouvrir grand nos yeux et notre coeur sur la pauvreté. Alors qu’attendons-nous pour écouter et vivre le message de charité évangélique et porter un regard attentif vers nos frères et
soeurs qui souffrent ?
Si le Seigneur Lui-même est descendu du ciel pour combler nos abîmes, alors le riche peut être sauvé.
L’Evangile est un vrai projet de vie pour tous. Il est à vivre dés aujourd’hui, sans attendre l’heure de notre mort : c’est par la construction du paradis des pauvres aujourd’hui que sera
détruit l’enfer des riches demain...
sources : @chalais.fr-@cursillos.ca-François Roger
photo : camp de réfubié syriens à Boynuegin
Fête de St Vincent de Paul
Bienheureux Frédéric Ozanam (1813-1853)
Un laïc "au chevet" des malades, des pauvres, des travailleurs
...D’origine lyonnaise, Ozanam vient très jeune à Paris pour faire carrière dans l’enseignement. Il n’entend pas
seulement affirmer sa foi dans ses paroles et ses écrits, il veut la mettre en œuvre auprès des déshérités.
Service des pauvres :
« Allons aux pauvres » dit-il à ses amis, qu’il entraîne dans les visites à domicile des laissés pour-compte sur les conseils d’une
religieuse de Saint- Vincent-de-Paul, sœur Rosalie Rendu. Les Conférences Saint-Vincent-de-Paul sont fondées
en 1833 et se multiplient à Paris, en province et à l’étranger. Plus encore que l’entraide matérielle, pourtant le plus souvent nécessaire, ce qui prime aux yeux d’Ozanam, c’est la rencontre
personnelle, la volonté de rompre solitude et isolement. Le but de la Conférence est la sanctification de ses membres par le service des pauvres.
Vie personnelle :
S’il est éclairé par sa vocation professionnelle, il n’a en revanche aucune lumière sur l’état de vie qu’il doit embrasser pour se
consacrer à sa tâche : célibat dans le monde, mariage ou vie religieuse. "Je sens en moi se faire un grand vide que rien ne remplit, ni l’amitié, ni l’étude. J’ignore qui viendra la combler :
sera-ce Dieu ? Sera-ce une créature ?" Frédéric attend. Un ami prêtre lui présente une jeune fille qu’il épouse le 23 juin 1841. Le 24 juillet 1845, ils ont une petite fille qu’ils prénomment
Marie.
Elaboration la future doctrine sociale
:
« Pour rétablir l’ordre, la charité ne suffit pas, car elle soigne les plaies, elle ne
prévient pas les coups qui les produisent. » Avec Lammenais, Montalembert, il est un bon exemple de ce catholicisme social apparu dans les années 1830.
Ozanam participe au débat de son époque sur la question sociale : il repousse tour à tour la solution du socialisme, qu'il appelle
"intervention dictatoriale du gouvernement", du haut de sa chaire d’Histoire à la Sorbonne, il s’attaque au libéralisme économique, « ignominieuse doctrine » qui réduit toute la vie aux calculs
d’intérêts. Il n'est pas un théoricien, mais dans son discours de droit commercial professé à Lyon en 1840, il élabore la future doctrine sociale de l'Eglise cinquante ans avant l'encyclique
Redum Novarum.
En 1848, Ozanam fonde avec le père Lacordaire le journal L’Ère nouvelle et y préconise un programme de
réformes. Il meurt à l’âge de 40 ans. Jean-Paul II l’a béatifié au cours des Journées Mondiales de la
Jeunesse 1997 à Paris.
source : paris.catholique.fr - mavocation.org – jardiniersdeDieu.com
Prière universelle : 26e Dimanche du temps ordinaire
L’Eglise, elle-même, n’a pas toujours su résister à la tentation de l’argent et des richesses matérielles…
Avec notre Pape François, nous t’implorons, Seigneur, pour qu’elle redevienne une Eglise pauvre parmi les pauvres à l’écoute de tous,
et, en particulier, de ceux qui sont parfois loin d’elle mais qui attendent, un signe, un geste pour se rapprocher du Christ et se nourrir de sa Parole…
Seigneur, nous t’en prions
Le pouvoir éloigne souvent des réalités du quotidien…
Donne à tous les dirigeants de ce monde de voir, comme toi, Seigneur, la misère des pauvres… D’entendre le cri des opprimés… De
connaître les souffrances de ceux qui sont dans la peine, de ceux qui ont perdu tout espoir… Accorde, à ces dirigeants, de savoir tirer des leçons constructives des épreuves endurées par les plus
fragiles de leurs peuples.
Seigneur, nous t’en
prions
Des innocents meurent, chaque jour, dans des attentats meurtriers… Au Kenya, en Irak, au Pakistan
où les chrétiens sont persécutés…
Aide, Seigneur, ces minorités fanatisées qui jettent l’opprobre
sur leur religion à se libérer de cette haine, de cette violence qui les emprisonnent… Soutien les familles des victimes afin qu’elles restent courageuses dans l’épreuve et qu’elles ne cèdent ni
au désespoir, ni à un désir de vengeance…
Seigneur,
nous t’en prions
Il est parfois difficile d’être sans emploi, sans responsabilité, sans toit, parfois, sans le sou, souvent,
et dépendant d’aides diverses…
A tous ceux qui connaissent la pauvreté, le découragement, face à
des situations qui paraissent sans issues, donne-leur, Seigneur, des frères attentifs qui leur permettent de garder, malgré tout, espérance et dignité en attendant des jours
meilleurs…
Seigneur, nous t’en prions
Micheline et Guy Tribout
Annonce des Messes du 26 au 29 septembre
Jeudi 26 septembre
9h00
Messe à Hayange suivie d’un temps d’adoration
Samedi 28
septembre
16h00 Mariage Frédéric SZYMANSKI et Stéphanie JOYSSAINS à
Ranguevaux
17h00 Mariage d’Adrien MARQUANT et Morgane DAVID à Hayange
18h00 Messe à Ranguevaux
Dimanche 29 septembre
9h15 Assemblée de prière au Konacker
10h30
Assemblée de prière à Marspich
9h15 Messe à Neufchef
Familles HOTTIER-LEONARD, Pierre AUBRY et son fils Jean Marie,
Henri NIZIOLEK
10h30 Messe à
Hayange
Emile MOHR, familles
SZCZETANSKI-DENNERNE
11h30 Baptême d’Elise RODRIGUES
Il y a projet de mariage entre
Arnaud et Delphine SIMONIN le 5 octobre à
Marspich
Christophe BIEDA et Aurélie FRIEDMANN
le 19 octobre à Marspich
Communauté de paroisses Bienheureux Jean XXIII du Berceau du Fer
Paroisses de Hayange et Serémange
:
tel. 03 82 85 55 54 ou 03 55 18 14 82
Presbytere-catholique57@orange.fr
Permanences :
jeudi de 10h à 11h30 à
Hayange
et samedi à Serémange de 9h à 11h
http://eglise-de-hayange-57700.blogspot.fr
Dans les interstices de l'agenda
Seigneur,
ce soir, je n’ai pas beaucoup de temps à te consacrer,
tant je suis pressé par l’urgence.
J’ai tant de
choses à faire :
courriers, messages électroniques, dossiers,
réunions, rendez-vous…
Comprends-moi,
Seigneur,
dans la vie moderne, tout est devenu urgent.
Mais voici que toi,
tu m’apprends à distinguer l’urgent de l’essentiel.
Et si l’essentiel, demain,
consistait à rester disponible pour tel appel imprévu
pour telle rencontre inopinée ?
Et si l’essentiel
se cachait
dans les interstices de l’agenda trop rempli ?
Seigneur,
apprends-moi à
rester disponible pour l’imprévu,
car c’est peut-être en acceptant de perdre son temps
que finalement on le gagne.
Qu’importe les choses
urgentes à faire,
l’essentiel, aujourd'hui, c’est de guetter ta présence.
Seigneur, apprends-moi chaque jour
à faire passer l’essentiel avant l’urgent.
Prière de Jean-Marie Petitclerc – revue Prier n°354
Image de Jean-Louis Muller
Rends compte de ta gestion
L’argent est un bon serviteur mais il est un mauvais maître". La sagesse de cette sentence convient bien à l’évangile de ce dimanche. Point besoin
d’être chrétien pour y adhérer sans réserve. Mais pour Jésus, il y va de notre relation à Dieu : "Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et
l’argent".
Il nous demande de changer notre attitude vis-à-vis de la richesse, et nous dit
que nous ne sommes pas vraiment les propriétaires, mais seulement les «gérants» de ce que nous possédons. Je dois gérer les biens, les qualités, les talents, les richesses spirituelles, intellectuelles et morales qui m’ont été donnés, je
n’ai pas le droit de "gaspiller" les dons que Dieu m’a confiés.
Je devrai en rendre compte.
C’est pourquoi Jésus nous livre ici la leçon essentielle: « Faites-vous
des amis de avec l’argent trompeur ». le bon emploi des richesses, c’est de développer l’amitié, de mettre de l'amour dans les relations. Voilà une conception vraiment
révolutionnaire sur l’argent et les talents : en faire un instrument de partage et créer ainsi des amitiés solides!
« Quand j’étais dans la misère, vous m’avez aidé »… « Vous êtes venus me visiter à l’hôpital…», « Vous m’avez encouragé et vous m’avez appuyé alors que j’étais en dépression.»… « Vous avez
retardé mes paiements de logis quand j’ai perdu mon emploi»… « Vous m’avez apporté des repas déjà préparés lorsque j’étais incapable de cuisiner seul.»… « Vous avez pris une demi journée de congé
pour venir faire les achats avec moi »… « Seigneur, ces parents et leurs enfants sont mes amis. Ils vont partagés leur temps, leur talent, leur argent, avec les catéchistes, durant cette nouvelle
année de préparation à la 1ière communion ...»
A travers ces gestes de partages, le Christ nous lance une invitation discrète aujourd’hui : soyez
diligents et mettez autant d’énergie dans la pratique du partage que d’autres en mettent dans la poursuite de l’argent et du pouvoir :
« Si vous mettiez autant d’énergie à bien vivre votre christianisme que les fils et les filles de ce monde en mettent pour
s’enrichir, tout irait mieux dans notre monde…» Il y aurait plus de paix, de pardon, de partage, de joie, d’amitié… Il y aurait moins de personnes seules, de gens qui sont dans la misère, de
personnes découragées de la vie…
Cette parabole de « l’argent trompeur » contient un message pour chacun et chacune de nous, une
invitation à faire « une utilisation chrétienne » de la richesse, du temps, des talents et de la vie.
Extrait de @cursillos.ca