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evenement
Récollection des EAP de l'archiprêtré Fensch/Pays Haut
C’est autour de la Miséricorde que s’est ébauchée la recollection qui a rassemblée les équipes des EAP de l’archiprêtré de la Fensch et Pays Haut à Fontoy le samedi matin 20 février. L’abbé Stéphane a introduit notre relecture de ce que nous vivons en équipe en présentant la miséricorde non seulement comme un sentiment par lequel la misère de l’autre nous touche aux entrailles *, mais aussi par la mise en œuvre des actes et services que nous engageons en EAP pour porter la vie des gens et des chrétiens sur le territoire qui est le nôtre.
Après un temps de méditation personnel, nous avons répondu en petit carrefour de quatre, aux questions : comment cela interpelle notre travail en EAP ? comment cela rejoint nos décisions en EAP ? Une synthèse a été esquissée autour de la redécouverte des œuvres de miséricordes corporelles et spirituelles que nous avons à vivre ensemble en communion avec toutes les personnes des équipes : chorales, catéchistes, les équipes liturgiques, funérailles, préparation au baptême, aux premières communions, groupe de prières, les confirmands, les associations caritatives, le service évangélique des malades... « la richesse de nos projets en EAP est de penser au bien des personnes que nous rencontrons et de prendre en compte leur besoin avant de mettre en œuvre, en toute miséricorde ».
Gérard Schaeffer a communiqué sur la visite Pastorale de l’évêque prévue le 21 mars à l’ensemble des 28 membres des EAP présents avant de partager un temps de prière et de nous envoyer en mission : « Soyez miséricordieux comme le Père ».
* en hébreu, entrailles et miséricorde, c’est le même mot.
François Roger – membre EAP Berceau du fer
en 2016, donnons plus de place à la fraternité
Chers amis,
Je suis heureux de vous souhaiter une belle et sainte année 2016. Qu'elle soit marquée par la tendresse et la miséricorde de Dieu. Que notre Communauté de paroisse saint Jean XXIII du berceau du fer puisse en être un reflet réel pour la joie de tous. Merci pour votre fidélité et vos prières qui nous invitent au quotidien à vivre nos actes en conformité avec notre foi. En 2016, donnons plus de place à la fraternité.
François Roger
Noël 2015 - La lumière d'une caresse
Aujourd’hui, je vous annonce une Grande Nouvelle un Sauveur nous est né, au terme d’une longue attente, un enfant nous est né.
En cette nuit de Noël, Dieu se manifeste à nous dans le cri d’un nouveau né à Bethléem, couché dans une mangeoire, avec, pour l’accueillir, deux ou trois bergers et autant de moutons...
Quand je regarde la crèche, quand je contemple l’enfant-Jésus dans le presque rien de la paille, je vois la lumière d’une caresse et la grâce d’un visage souriant.
Ö Père éternel, comme Marie et Joseph, rends-nous joyeux d’accueillir ton Fils Jésus.
Puissions-nous le laisser naître au milieu de nous et le porter à tous, car
il est la Paix dont le monde a besoin,
il est la force qui fait tenir notre fragile existence,
il est la Lumière qui donne vie à nos familles et à notre Eglise,
Il est Dieu parmi nous ! Joyeux Noël à tous
La lumière de Bethléem accueillie à St Martin
En ce troisième dimanche de l’Avent, la paroisse St Martin de Hayange a accueilli la Lumière de la Paix de Bethléem.
A travers un formidable réseau de fraternité, rapporter en Autriche puis en France, par les scouts et guide de France, une flamme allumée dans la grotte de la Nativité à Bethléem, symbole de Paix, a été accueilli avec ferveur par l’église de Hayange dimanche 13 décembre
En ce 3ième dimanche de l’Avent célébré par l’archiprêtre Gérard Schaeffer et le diacre Michel Schweitzer, les scouts et guides de la vallée de la Fensch à travers ce geste simple participe à faire de Noël un temps de paix et d’espérance.
Transmisse de bougie en bougie l’assemblée à prier pour que cette lumière sur la paix soit une espérance qui change le monde afin que brille le cœur de tous les hommes de bonne volonté.
C’est avec le chant Evenou shalom alerhem et sous les applaudissements de toute l’assemblée que chacun a pu recueillir ce signe de paix qui sera distribué à toute la communauté des paroisses du berceau du fer dimanche prochain.
Les enfants chantent Noël
Les enfants de la 1iére communion de la communauté des paroisses du berceau du fer ont célébrés le temps de l’Avent samedi 13 décembre à l’église de Serémange entouré par les dames catéchistes et par de leur parents.
Ils ont répondu présent à l’invitation de l’équipe animatrice autour de Dominique Fullenwarth, pour participer à un après-midi de Noël,.
Accompagné à la guitare par Bernadetta et au synthé par Jérôme, ils ont chanté Noël en reprenant en cœur les strophes des chants présentés sur écran :
« Bientôt, c’est Noël », « L’ange Gabriel devant la Vierge est apparu », « Entre le bœuf et l’âne gris », « Il est né le divine enfants », « Trois mages venus d’Orient »,
« Les allumeurs d’étoiles ».
Tout en chantant, les enfants ont progressivement construit une crèche vivante : les anges, Marie et Joseph, les bergers, l’étoile de Bethléem auquel se sont joints les servants de messe de toute la communauté.
Ce sont sous les applaudissements de l’Assemblée que chacun a prié : « Il y aura des allumeurs d’étoiles, il ; y aura des annonceurs de joies, tant qu’il y aura dans le monde des gens heureux de croire. »
Un goûter a rassemble tous les acteurs de ce bel après-midi de Noël juste après que les servants de messe soit présenté par Didier Ansoul.
Témoignage aprés les attentats de Paris
Dans une grande dignité et avec pour maître-mot la solidarité, près de 2 000 personnes ont assisté hier en l’église Ste Thérèse à Metz aux obsèques de Marie Lausch 23 ans et Mathias Dymarski 22 ans, fauchés au Bataclan à Paris. Familles et amis y ont délivré un formidable message de paix. Sur son cercueil à elle, ses ballerines. Sur le sien, son casque de BMX.
Evoquant leur admiration pour ces jeunes diplômés supérieurs, tout fraîchement installés à Paris, qui « géraient tout avec une formidable énergie » et se montraient « solidaires en permanence », ces deux pères de ces enfants uniques ont choisi de délivrer un formidable message d’espoir. « A ceux qui ont brisé le grand amour de nos vies, nous ne ferons pas le cadeau de notre haine. La meilleure réponse à cette violence qui frappe à l’aveugle, c’est la solidarité », ont poursuivi les papas avant de s’adresser à leurs enfants : « On vivra, on sortira, on rira, on sera presque heureux, pour que vos vies continuent à travers nous. Nous serons des messagers de votre amour. Pour vous, nous vivrons sans haine car nous savons que là où vous êtes, vous enchantez les anges », ont-ils conclu sous les applaudissements.
Animés par la même dignité, leur « deuxième famille », leurs potes, ont pris à leur tour la parole. Dressant le portrait d’amis « brillants, fonceurs, audacieux, drôles et toujours partants pour s’amuser », ils ont porté un extraordinaire message de paix, salué lui aussi par les applaudissements : « Malgré les sentiments de colère et d’injustice qui nous animent, nous ne nous éloignerons pas de ce que vous représentiez et nous deviendrons les ambassadeurs de l’amour et de la solidarité. »
Entouré d’une quinzaine de prêtres, diacres et séminaristes, Monseigneur Lagleize, évêque du diocèse de Metz, s’est ensuite efforcé de trouver les mots qui réconfortent face « à cette barbarie froide et déterminée ». « Malgré notre incompréhension face à la sauvagerie, nous voulons manifester notre volonté de ne pas céder à la peur », a exhorté le prêtre.
Extrait du Républicain Lorrain - Philippe MARQUE
Equipe d’Animation Pastorale Saint Jean XXIII du berceau du fer
La famille des Fils d'Abraham
Abraham était un éleveur de la région chaldéenne, dans l’actuel Irak. Au cours de ses longs déplacements avec son troupeau, il rencontra des gents très différents, qui adoraient des Dieux différents. Il en arriva comme à une certitude, que Dieu ne pouvait être qu’unique, et assez grand pour être le Dieu de tous les humains.
La foi du berger Abraham se répandit dans sa nombreuse famille, dans son clan, dans sa tribu, dans son peuple... elle dure toujours.
La famille d’Abraham, qu’on appelle les juifs, les chrétiens et les musulmans, continu aujourd’hui encore, à se dire « fils d’Abraham », et ses derniers ont encore fêté il y a quelque jour l’Aïd el kebir, la grande fête qui commémore le sacrifice d’Abraham. Et ils proclament : « Allah est Allah, et Mahomet est son prophète » tandis que les Juifs proclament : « Yahvé est Yahvé, et Moïse est son prophète », et les chrétiens proclament : « Dieu est Dieu, et Jésus-Christ est son Fils ».
Et cette grande famille des fils d’Abraham a bien du mal à se comporter fraternellement, peut-être parce qu’on continue, comme jadis les petits –fils d’’Abraham Jacob et Esaü, à réclamer chacun le droit d’aînesse.
Pierre Becker
Soigner les couples blessés
Le pape François a ouvert, le 4 octobre 2015 au matin en la basilique Saint-Pierre, la XIVe Assemblée ordinaire des évêques consacrée à la famille. Dans son homélie, il a commenté les lectures du 27e dimanche du temps ordinaire, textes qui semblaient choisis « spécialement pour l’événement de grâce que l’Église est en train de vivre ». Lectures centrées sur trois thèmes : « le drame de la solitude, l’amour entre l’homme et la femme et la famille ».
Concernant la solitude, « ce drame qui, encore aujourd’hui, afflige tant d’hommes et de femmes », le pape François a souligné que « dans un certain sens » nous vivons encore aujourd’hui " la même expérience qu’Adam : beaucoup de puissance, accompagnée de beaucoup de solitude et de vulnérabilité…"
Pourtant, a rappelé le pape François, le rêve de Dieu est de voir « sa créature bien aimée » se réaliser dans l’union d’amour entre l’homme et la femme ; « heureuse sur le chemin commun, féconde dans le don réciproque ». Et si, dans l’évangile du jour, Jésus fait tout remonter « à l’origine de la création » c’est bien « pour nous apprendre que Dieu bénit l’amour humain ». Cela signifie particulièrement, a-t-il ajouté, « que le but de la vie conjugale n’est pas seulement de vivre ensemble pour toujours, mais de s’aimer pour toujours ! »
Dans le monde d’aujourd’hui, dans un contexte social et matrimonial très difficile, le pape François a souligné que « l’Église est appelée à vivre sa mission dans la fidélité, dans la vérité et dans la charité ».
Vivre sa mission « dans la fidélité à son Maître comme une voix qui crie dans le désert », afin de défendre l’amour fidèle ; de défendre « la sacralité de la vie, de toute vie » ; enfin, de proclamer l’unité et l’indissolubilité du lien conjugal « comme signe de la grâce de Dieu et de la capacité de l’homme d’aimer sérieusement ». Cependant, a-t-il insisté, « fidèle à sa nature de Mère », l’Église se sent le devoir « de chercher et de soigner les couples blessés avec l’huile de l’accueil et de la miséricorde… »
4 octobre 2015, homélie du pape François lors de la messe d’ouverture de la XIVe Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques sur la Famille
François d'Assise
François, le fils de Pierre Bernardone et de Dame Pica, né en 1182 à Assise, dans cette Ombrie « d’ocre rousse et de lumière ».
François, l’aventurier beau jeune homme, qui joue au chevalier et se trouve en prison à Pérouse…
François, qui un jour, rentre en lui-même, tiraillé entre ses goûts passés et l’attente d’autres choses…
François, qui un jour d’errance, entends le vieux crucifix de la petite église rurale de Saint Damien lui demandé de : « réparer son église en ruine »
François, qui devant l’évêque, se dépouille de ses vêtements pour manifester qu’il renonce à l’héritage paternel pour le seul service de son Père des Cieux…
François, qui fascina la paroisse d’Assise, jeunes filles, comme Claire, jeunes hommes, comme Egidio, Bernard de Quintavalle, Pierre de Catane et les autres…
François, le bâtisseur de l’ordre des Franciscain, qui continue à soigner les lépreux …
François, qui met en lumière la crèche de Noël qui s’est répandu dans la famille Franciscaine puis dans les foyers après la nuit passé qu'il célébra dans une grotte à Greccio.
François, qui rencontre avec le sultan à Damiette pour essayer de le convertir et répand la prière par les cloches, puis par l'Angélus...
François, si rude pour lui-même, si amoureux de la nature, le poète qui célèbre frère soleil, les étoiles, la lune, le vent, le feu, sœur eau, la terre,… et la mort ! En eux il reconnaît le Seigneur qui soutient toutes les créatures….
François, le Poverello, époux de Dame Pauvreté, qui choisit de mourir nu sur la terre nue à 44 ans en 1226.
François, à la fois incompris et maintenant admiré, le plus fidèle imitateur de Jésus, ce Jésus dont il a dit : « L’amour m’a mis dans la fournaise, il m’a mis dans une fournaise d’amour ».
François d'Assise est canonisé dès 1228 par le pape Grégoire IX et commémoré le 4 octobre. Il est le patron des louveteaux, des écologistes et des animaux.
Saint François d'Assise est considéré comme le précurseur du dialogue interreligieux. C'est la raison pour laquelle sa ville natale a été choisie par Jean-Paul II comme siège de la journée mondiale de prière en 1986.
Dimanche 4 octobre 2015 nous prierons pour la Sauvegarde de la Création et pour la Famille.
Fresque de François d'Assise par Cimabue dans la basilique d'Assise
Procession de l'Assomption à Ranguevaux
En ce samedi 15 août s’est déroulée la traditionnelle procession de l'Assompion dans les rues du village de Ranguevaux. Au son du carillon de l’église St Barthélémy à 20 heures, la procession a pris son départ pour accompagner la statue de « Santa Maria » portée tout au long du parcours par 4 fidèles de la paroisse.
Prières, chants ont rythmés l’itinéraires depuis la rue des prés en passant par la rue du Moulin, rue de Morlange, rue de la cueillerotte, du Haut chemin, de Neufchef, jusqu’à la place de la République puis retour par la rue St Barthélémy.
La procession était jalonnée par 5 reposoirs préparés par des gens et amis du village. L’équipe liturgique a égrainée des lectures qui ont raisonnés dans ce joli vallon arrosé par le ruisseau des écrevisses et entouré de collines verdoyantes et boisées.
Une procession toute en communion avec cette journée en l’honneur de Notre Dame de l’Assomption célébrée le matin au cours de la messe à l’église St Martin, et l’après midi au cours du chapelet à Notre Dame de Hayange. Confions à Notre Dame de l’Assomption cette prière d’intercession à nos sœurs et frères d’Orient lue et évoqué au cours de ces trois manifestations de la communauté des paroisses du berceau du fer :
Marie, notre Mère,
Nous nous adressons à toi
En cette fête qui nous rappelle
Que tu es auprès du Père
Dans la gloire de la Résurrection.
Toi qui étais debout près de la croix de ton Fils,
Tu peux, mieux que quiconque,
Comprendre nos sœurs et nos frères humains
Qui souffrent et intercéder pour eux.
Nous voulons te confier aujourd’hui
Les chrétiens d’Orient
Qui vivent un chemin de croix
Et qui implorent notre aide.
Prends-les sous ta protection,
Qu’ils puissent découvrir la présence de ton Fils
Auprès d’eux dans leur détresse.
Intercède pour nous aussi :
Que l’Esprit Saint nous aide à trouver
les moyens de leur venir en aide
Et que nous vivions plus intensément
la solidarité avec eux dans la prière.
Amen
